Quelle honte! Les mercenaires «chrétiens» de (Blackwater) arrêtent et torturent les hauts princes saoudiens

آحمد صبحي منصور في السبت ١١ - نوفمبر - ٢٠١٧ ١٢:٠٠ صباحاً

Quelle honte! Les mercenaires «chrétiens» de (Blackwater) arrêtent et torturent les hauts princes saoudiens!

 

Publié en novembre 10, 2017

Traduit par: Ahmed Fathy

 

 

 

Introduction:

1- Ces hauts princes saoudiens (de M. Ibn Nayef à Mutaib Ibn Abdullah) sont restés jusqu'à récemment comme des pharaons qui contrôlent tout dans le royaume saoudien et la famille royale saoudienne. Maintenant, beaucoup de princes saoudiens sont humiliés de manières jamais imaginées auparavant dans leurs pires cauchemars; ils sont arrêtés par les mercenaires «chrétiens» (Blackwater) dont la notoriété mondiale est connue de tous. En effet, la compagnie Blackwater compte des milliers de mercenaires et offre ses services de «sécurité» à de nombreux régimes dans le monde (notamment au Moyen-Orient et en Asie) au sein de son empire quasi-militaire. La compagnie Blackwater a été impliquée dans des violations contre des civils, notamment en tuant des civils irakiens dans le cadre d'opérations durant l'invasion américaine en Irak.

2- Le fait que le prince héritier saoudien, M. Ibn Salman, a demandé l'aide de la compagnie Blackwater signifie qu'il ne fait jamais confiance à la sécurité saoudienne, aux gardes royaux saoudiens, ni à l'armée saoudienne. En revanche, dans les années 1990, de nombreux wahhabites du royaume saoudien ont exprimé leur fureur lorsque les «chrétiens» ont souillé la terre saoudienne de «l'islam» et de la Mecque, alors que les membres de la famille royale saoudienne ont demandé l'aide des marines américains contre la menace posée par Saddam Hussein quand il a envahi le Koweït. Maintenant, les mercenaires de Blackwater arrêtent les hauts princes saoudiens sur les ordres du roi Salman et de son fils le prince héritier.

3- Ces princes arrêtés sont interrogés par le nouvel appareil de sécurité de l'État saoudien établi par M. Ibn Salman, dirigé par des experts égyptiens et, en plus, par l'ancien ministre égyptien de l'Intérieur, Habib Al-Adly, introduit clandestinement dans le royaume saoudien. Cela signifie que le régime saoudien fait appel à l'aide des anciens ministres de l'Intérieur égyptiens pour travailler au royaume saoudien en tant qu'experts pour aider à opprimer les pauvres citoyens d'Arabie. Cela signifie que le prince héritier ne trouve ni ne fait confiance aux hommes de sécurité saoudiens dans la mission qu'il entreprend maintenant dans L'Arabie saoudite sous la bannière d'une campagne anti-corruption.

4- Nous sommes surpris par l'information mentionnée sur le site web de Middle-East Eye (www.middleeasteye.net) selon laquelle certaines personnes détenues et interrogées par de hauts responsables saoudiens sont sauvagement maltraitées, torturées et battues. Certains d'entre eux ont été hospitalisés, selon le journaliste britannique connu David Hirst dans ce reportage sur le site de Middle East Eye intitulé "Les hauts personnages saoudiens torturés et battus dans l’épuration". Des sources à Riyad et au sein du palais royal affirment que l'ampleur de cette répression de la campagne dite «anti-corruption» est plus grande que ne l'ont révélé les autorités saoudiennes. Plus de 500 hommes ont été arrêtés et d'autres sont arrêtés quotidiennement depuis plus d'une semaine. En effet, des dizaines d'hommes d'affaires, de milliardaires, de hauts fonctionnaires, de ministres et de princes ont été arrêtés et interrogés. Une telle répression ou épuration vise à renforcer l'autorité et le pouvoir du prince héritier. David Hirst affirme dans ce reportage que «certaines des personnalités arrêtées ont été choisies pour le traitement le plus brutal, souffrant de blessures au corps subies par les méthodes classiques de torture. Il n'y a pas de blessures à leurs visages, donc ils ne montreront aucun signe physique de leur épreuve lorsqu'ils apparaîtront en public. Certains détenus ont été torturés pour révéler les détails de leurs comptes bancaires." Le site Web de Middle East Eye a été «incapable de fournir des détails précis sur les abus subis afin de protéger l'anonymat de ses sources». Voici le lien du reportage (en anglais) par David Hirst: http://www.middleeasteye.net/news/exclusive-senior-figures-tortured-and-beaten-saudi-purge-1489501498

5- Les événements se déroulent très rapidement dans le royaume saoudien et au Moyen-Orient. Avant que les choses changent pour le pire, analysons les points ci-dessus dans notre prédiction de l'effondrement imminent du royaume saoudien. Nous fournissons ci-dessous nos points de vue dont le temps prouvera qu'ils sont vrais ou non.

 

Premièrement: au sein de la famille saoudienne:

1- Les membres de la famille saoudienne n'ont jamais été témoins de schismes au sein du premier État saoudien qui a pris fin en 1818; ils étaient unis par leur wahhabisme en annexant des étendues de terres par des conquêtes et en opprimant le peuple d'Arabie. Au sein du second État saoudien, l'élan wahhabite s'estompe et les «droits» familiaux qui ont conduit aux schismes ont commencé plus tôt et ont abouti au fait que les frères et les proches saoudiens se battaient les uns contre les autres et se détrônaient les uns les autres. Par exemple, Turki Ibn Abdullah Al-Saoud, Feisal Ibn Turki, Saud Ibn Feisal, et Abdul-Rahman Ibn Feisal ont été intronisés deux fois et Abdullah Ibn Feisal a été intronisé trois fois. Abdul-Rahman Ibn Feisal a été vaincu par la famille Al-Rasheed et il a pris la fuite au Koweït. Il était le père d'Abdul-Aziz Al-Saoud, le fondateur du troisième État saoudien actuel.

2- Quand Abdul-Aziz Al-Saoud a établi le troisième État saoudien actuel alors que son père, Abdul-Rahman Ibn Feisal, était vivant, il a stipulé que le trône du royaume saoudien devait être limité à sa progéniture, et son père a accepté. En effet, Abdul-Aziz a introduit un système de loyauté et d'allégeance pour que sa famille et sa progéniture ne se battent pas dans des schismes familiaux, surtout après avoir débarrassé des Frères de Nejd et donné à l'État le nom de sa famille: L'Arabie saoudite.

3- Avant l'augmentation des prix du pétrole, le prince héritier Feisal se disputait avec son frère, le roi riche et extravagant Saoud. Feisal réussit à détrôner le roi Saoud et à s'ériger en roi pendant que l'ancien roi était vivant. Aucun autre schisme familial saoudien ne s'est produit jusqu'à ce que le roi salman a été intronisé à la fin de ses années soixante-dix après de longues années de port du titre (le prince héritier). On s'attendait à ce qu'il se venge (après une si longue période d'attente) en limitant le trône du royaume saoudien à sa progéniture. En fait, Salman est l'homme le plus fort, le plus puissant et le plus audacieux parmi ses frères et demi-frères. Il est très pragmatique et n'aime pas le wahhabisme. Salman a été le gourdin utilisé par la famille royale saoudienne pour réprimer et écraser le mouvement d'opposition wahhabite au 20ème siècle, bien qu'il n'était que le prince de Riyad à l'époque, et pas le ministre de l'Intérieur. Le ministre de l'Intérieur de l'époque était son frère, le prince Nayef, spécialisé dans la torture des détenus parmi les personnalités de l'opposition alors que Salman confronté politiquement les personnalités de l'opposition au royaume saoudien et à Londres, sous le règne de leur frère, le défunt roi Fahd. Le prince héritier actuel, M. Ibn Salman, a hérité de son père cette tendance audacieuse, agressive, pragmatique et il les applique maintenant dans le «bon moment» au sein des membres de la famille royale saoudienne.

4- Les membres de la famille saoudienne étaient des combattants cavaliers bédouins dans les batailles au sein des premier et second états saoudiens; le dernier cavalier d'entre eux était le fondateur du troisième état saoudien actuel, Abdul-Aziz Al-Saoud. Les revenus pétroliers ont fait que les membres de la famille saoudienne se sont soudainement transformés (sans processus progressif de civilisation) de la culture bédouine à la prospérité, à l'extravagance et à l'immoralité. C'est pourquoi, lorsque le roi Salman fit de son fils, M. Ibn Salman, le vice-prince héritier, ses frères et leurs fils protestèrent à peine. Dans une vidéo, le vice-prince héritier a agenouillé devant le prince héritier M. Ibn Nayef, qui était le ministre de l'Intérieur favorisé par les Américains. Des mois plus tard, M. Ibn Salman a été nommé prince-héritier et M. Ibn Nayef a été renversé facilement. Le prince Mutaib Ibn Abdallah se préparait à succéder à son père, le défunt roi Abdullah, au trône au lieu de son oncle Salman, dans un complot ourdi par Khalid Al-Tuweijri, le chef de la cour royale sous le roi Abdallah. Al-Tuweijri a empêché quiconque de rencontrer le roi Abdullah dans son lit de mort lorsqu'il a été hospitalisé. Les rumeurs disent que M. Ibn Salman a déjoué un tel complot consistant à nommer Mutaib Ibn Abdullah prince-héritier au lieu de Salman, et il a menacé Al-Tuweijri avec un pistolet et l'a giflé. Al-Tuweijri (loyal au roi Abdullah et son fils Mutaib) a été renvoyé de son poste de chef de la cour royale une fois que Salman a été intronisé. Mutaib a été récemment arrêté par les mercenaires "chrétiens" de la compagnie  Blackwater.

5- Les membres de la famille saoudienne comprennent maintenant trois générations: la génération aînée des fils d'Abdul-Aziz Al-Saoud (dont Mishaal, Ahmad et Talal), la génération des petits-fils d'Abdul-Aziz Al-Saoud: les fils de Saud, Feisal, Khaled, Fahd, Nayef, Sultan, etc., et la génération de la progéniture de ces fils. Il y a aussi des princes d'importance mineure qui sont les fils des frères d'Abdul-Aziz Al-Saoud et de leur progéniture, environ 11 mille personnes. La génération âgée des fils d'Abdul-Aziz Al-Saoud est trop faible pour s'opposer au roi Salman et à son fils impétueux et imprudent. Le prince Talal Ibn Abdul-Aziz ne s'est pas encore révolté contre Salman et son fils, bien que dans sa jeunesse, il se soit révolté contre sa famille en exigeant l'introduction de la réforme, et il a formé un front avec d'autres princes réformistes et a rejoint Gamal Abdel-Nasser, le président égyptien à l'époque, tout en cédant son titre royal en tant que prince. Dans sa vieillesse, le prince Talal protesta à voix basse; il n'a jamais prononcé un mot en public quand son fils, Al-Waleed Ibn Talal, a été emprisonné par Ibn Salman et sa richesse est confisquée. Al-Waleed a été la star de la famille saoudienne dans le monde des affaires. La génération des fils inclut ceux qui occupent des postes de haut rang comme certains fils des princes Feisal et Sultan, et ils sont assez sages pour ne pas provoquer la colère de M. Ibn Salman afin de jouir du reste de leur vie dans la sérénité. C'est pourquoi ils ont juré allégeance à M. Ibn Salman en tant que prince héritier. Ce prince héritier et son père, le roi Salman, ont été prêts à faire face à d'autres fauteurs de troubles au sein des membres de la famille saoudienne.

6- La soi-disant campagne anti-corruption visant à contrôler les fauteurs de troubles qui s'opposeraient au prince héritier a commencé par arrêter le prince gâté Abdul-Aziz Ibn Fahd, et aucune réponse n'a jamais été donnée par les membres de la famille saoudienne. Lorsque le roi Salman et son fils ont annoncé leur intention de rejeter le wahhabisme et de réexaminer les soi-disant hadiths, aucune réponse n'a jamais été donnée par les membres de la famille saoudienne. Tous ceux qui sont craints par M. Ibn Salman ont été arrêtés et leurs biens confisqués, et aucune réponse n'a jamais été donnée par les membres de la famille saoudienne. Lorsque M. Ibn Salman a ordonné l'arrestation et l'interrogatoire de centaines d'hommes, les membres de la famille saoudienne ont été terrifiés. M. Ibn Nayef, qui a été le ministre de l'Intérieur et qui a torturé des détenus au nom du royaume saoudien et des États-Unis, est maintenant arrêté et emprisonné par les mercenaires «chrétiens» de Blackwater. Al-Waleed Ibn Talal qui a ridiculisé Donald Trump et l'a qualifié de «déshonneur pour toute l'Amérique» est maintenant emprisonné et ses milliards de dollars américains confisqués et les rumeurs disent que sa fille est également emprisonnée. Est-ce que cela a été fait aussi par les mercenaires «chrétiens» de Blackwater?!

7- Le défunt prince Mishaal, qui a confisqué des centaines de milliers de kilomètres carrés de terres en Arabie au cours des 50 dernières années et est mort en 2017, n'a jamais caché son ambition d'être intronisé comme roi. En 2013, il a été accusé par les tribunaux britanniques de blanchiment d'argent, de soutien au terrorisme, de contrebande de pierres précieuses en provenance du Congo et d'offre d'un pot-de-vin de deux milliards de dollars américains à un fonctionnaire de l'ONU. Mishaal protesta dès le début contre la nomination de M. Ibn Salman comme prince héritier sans le consulter. Heureusement pour le roi Salman et son fils, le prince Mishaal mourut en 2017, et le prince héritier confisqua son argent liquide dans le royaume saoudien, environ 400 milliards de dollars américains, contrairement à la plupart d'argents des autres princes qui sont dans des comptes bancaires à l'étranger. Ainsi, la soi-disant campagne anti-corruption n'aurait pas été un succès sans confisquer l'argent du défunt prince Mishaal.

 

Deuxièmement: les mots du blogueur Mujtahidd sur Twitter:

 Un mystérieux prince saoudien est un blogueur qui se dit Mujtahidd publie en ligne les scandales des membres de la famille saoudienne, et ses derniers tweets sur Twitter retracent les pas de M. Ibn Salman qui vise à monopoliser le pouvoir et à confisquer toute richesse. Nous résumons ces tweets et leur donnons des titres ci-dessous.

Le renvoi de Mutaib Ibn Abdullah de son poste de commandant de la garde nationale:

1- Après le renvoi M. Ibn Nayef de son poste de ministre de l'Intérieur, le ministère de l'Intérieur est désormais dirigé par M. Ibn Salman, qui a renvoyé Mutaib Ibn Abdullah de son poste de commandant de la garde nationale afin que toutes les forces armées soient sous le contrôle du prince héritier saoudien; de telles mesures préparent la voie pour que M. Ibn Salman soit officiellement intronisé comme roi pendant que son père est vivant. Le nouvel appareil de sécurité de l'État saoudien fidèle à M. Ibn Salman est rempli d'experts égyptiens de la sécurité et des mercenaires de Blackwater.

2- M. Ibn Salman a essayé de faire facilement accepter à Mutaib son renvoi en échange de la nomination d'un de ses fils, mais Mutaib a refusé et a demandé l'aide de son oncle paternel, le prince Ahmad Ibn Abdul-Aziz. Le prince héritier a averti les membres de la famille saoudienne que quiconque contacterait le prince Ahmad Ibn Abdul-Aziz risque de perdre la vie! Cela les a fait réfléchir à deux fois avant de contacter le prince Ahmad Ibn Abdul-Aziz. Plus tard, M. Ibn Salman a renvoyé Mutaib de son poste et cela a coïncidé avec la soi-disant campagne anti-corruption.

La soi-disant campagne anti-corruption comme une façade pour confisquer la richesse et monopoliser le pouvoir:

1- Lorsque le premier pas de M. Ibn Salman a été d'arrêter le prince Abdul-Aziz Ibn Fahd et de confisquer ses possessions et ses richesses, aucune réponse n'a jamais été donnée par les membres de la famille saoudienne. Cela a encouragé le prince héritier à poursuivre les autres étapes de son plan.

2- M. Ibn Salman a décidé d'empêcher les princes de voyager à l'étranger sauf autorisation écrite préalable de sa part et il a imposé une certaine limite pour les sommes transférées à l'étranger, à ne jamais dépasser, sauf autorisation écrite préalable de lui. Le prince héritier a commandé la préparation d'un rapport sur les possessions des princes saoudiens à l'intérieur et à l'extérieur du royaume saoudien.

3- Ce rapport montre les trillions de dollars américains possédés par les princes saoudiens et leurs partisans et copains. Ce rapport mentionne que Khaled Al-Tuweijri a volé plus de 300 milliards de dollars américains lorsqu'il était le chef de la Cour royale sous le défunt roi Abdullah qui lui faisait absolument confiance. Ces ministres et hommes d'affaires arrêtés au cours de la champagne anti-corruption possèdent de nombreux milliards de dollars américains dans le cadre de leurs relations directes et indirectes avec les princes saoudiens.

4- Mutaib Ibn Abdullah a été renvoyé de son poste au sein de cette campagne anti-corruption afin de le faire apparaître comme l'un des corrompus. Les médias saoudiens se concentrent trop sur cette campagne anti-corruption pour intimider les membres de la famille saoudienne. Cette campagne anti-corruption a inclus la suspension de certaines personnes et l'ouverture d'enquêtes sur d'autres personnes à l'intérieur et à l'extérieur du royaume saoudien afin de confisquer leurs biens. L'étape suivante consiste à renvoyer de leurs postes de nombreux princes saoudiens comme les princes qui gouvernent Tabuk, la Mecque, Al-Ahsa et Riyad, afin de nommer à leur place ceux qui sont fidèles à Salman.

5- Finalement, Mujtahidd affirme la cupidité de M. Ibn Salman qui a l'intention de confisquer autant d'argent et de possessions que possible pour ses propres comptes bancaires. Il dit que le prince héritier s'attend à recevoir entre deux et trois trillions de dollars américains, tout en consacrant un demi-trillion de dollars américains seulement au budget saoudien. Il dit que M. Ibn Salman s'est vanté parmi ses proches parents que sa richesse dépassera les richesses de Bill Gates, Mishaal Ibn Abdul-Aziz, Abdul-Aziz Ibn Fahd, Khaled Ibn Sultan, et Muhammad Ibn Fahd lorsqu'ils sont combinés ensemble, comme il désire entrer dans les records mondiaux Guinness comme l'homme le plus riche sur Terre.

 

Enfin:

1- Le degré d'affluence corruptrice des membres de la famille royale saoudienne a permis au prince héritier, M. Ibn Salman, de les contrôler sous le slogan «combattre la corruption». Ce n'est pas une nouvelle manchette que tous les membres de la famille royale saoudienne sont corrompus et en quête incessamment d'autres formes de corruption. Ceux qui prétendent combattre la corruption ne doivent jamais avoir été des personnes corrompues; cela ne s'applique certainement pas au roi Salman et à ses fils, y compris le prince héritier, qui sont très corrompus. C'est ainsi que les conditions des membres de la famille royale saoudienne ont changé par rapport à leurs ancêtres des XVIIIe et XIXe siècles en raison de la malédiction des revenus pétroliers.

2- Il est à noter que le roi Salman a prévenu son frère le prince Ahmad Ibn Abdul-Aziz en disant de façon menaçante que le trône serait pour son fils, M. Ibn Salman, que les membres de la famille saoudienne l'apprécient ou non. Cela signifie que les membres de la famille saoudienne n'ont aucun poids dans le choix de celui qui montera sur le trône saoudien.

3- Qui protège le roi Salman et son fils le prince héritier? Quelle est la source de cette confiance profonde adoptée par le roi Salman dans ses paroles? Cela nécessite des explications de notre part.

  Nous continuons dans le prochain article.

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