MATIERE A REFLEXION ( II

يحي فوزي نشاشبي في الثلاثاء ٢٤ - فبراير - ٢٠١٥ ١٢:٠٠ صباحاً

 

MATIERE  A  REFLEXION (ll)

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01

Lorsque  vous  travaillez,  vous  êtes  une  flûte  au  cœur  de  laquelle  le  murmure  des  heures  se  change  en  musique.  

Qui  de  vous  se  voudrait  roseau,  muet  et  silencieux, quand  tout  chante  à  l’unisson ? (Khalil Gibran).

02

…Mais moi, je vous  dis, que lorsque vous travaillez vous accomplissez  une  part  de  rêve  le  plus  lointain  de  la  terre,  celle qui vous a  été  assignée  quand  ce rêve  est  né,  et  c’est  en restant au travail que vous manifestez un  véritable  amour  de  la  vie. (Khalil Gibran).

03

… et aimer la vie dans le travail, c’est établir  des liens  intimes  avec  le plus  profond  secret  de  la  vie. (Khalil Gibran).

04

… Ne dites pas, « J’ai trouvé la vérité » mais plutôt, « j’ai  trouvé  une vérité ». (Khalil Gibran).

05

…Personne ne peut vous révéler autre chose que ce qui repose déjà, à moitié endormi, dans le commencement de votre savoir. (Khalil Gibran).

06

… Alors  un lettré dit, parle-nous de la Parole.

Et il répondit, disant :

Vous parlez quand vous cessez d’être en paix avec vos pensées.

Et quand vous ne pouvez habiter plus longtemps la solitude de votre cœur, vous vivez  sur vos  lèvres , et le son qui en  sort est  un  divertissement et un passe-temps.

      ) . Et dans beaucoup de vos discours, la pensée est à moitié assassinée.

07

… Et il y a ceux qui ont la vérité en eux, mais ne la mettent pas en mots.

Dans la poitrine de ceux-ci, l’esprit habite un silence harmonieux. (Khalil Gibran).

08

Vous êtes bons si vous ne faites qu’un avec vous-mêmes.

Vous êtes bons si vous vous efforcez de donner de vous-mêmes.

… Car pour  le  fruit, donner  est  un  besoin, comme  recevoir est  un  besoin  pour  la  racine. (Khalil Gibran).

09

… Même ceux qui boitent ne reculent pas.

Mais vous qui êtes vifs  et  forts, veillez à ne pas boiter  devant les  infirmes,  prenant  cela  pour de  la  gentillesse. (Khalil Gibran).

10

… Mais  que celui qui désire beaucoup ne  dise pas à celui qui désire peu, « pourquoi es-tu  lent et hésitant ? »

Car celui qui est vraiment bonne demande pas à celui qui est nu « Où est ton vêtement ? », ni au sans-logis « Qu’est-il arrivé  à  ton logis ? ». (Khalil Gibran).

 

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