( 01) MATIERE A REFLEXION
(01)
Malheur à la nation qui brandit mille et une religion, mais ignore la foi. (Khalil Gibran).
(02)
Quand l’Amour vous fais signe de le suivre, suivez le… et quand il parle, croyez en lui. (Khalil Gibran).
(03)
En vérité la soif du confort tue l’ardeur de l’âme, et suit alors ses funérailles en ricanant ! mais vous enfants de l’espace, à la quiétude inquiète, vous ne serez ni pris au piège, ni domptés, vous ne replierez pas vos ailes pour passer par la porte, ni ne courberez vos têtes pour éviter qu’elles cognent le plafond, ni ne craindrez de respirer, par peur que les murs ne se fissurent et ne s’écroulent. (Khalil Gibran).
(04)
Lorsque l’impur ne sera plus, que deviendra la pudeur, sinon une entrave et une souillure de l’esprit ? et n’oubliez pas que la terre prend plaisir à sentir vos pieds nus et que les vents aspirent à jouer avec vos cheveux. (Khalil Gibran).
(05)
… car comme il en a toujours été, c’est seulement à l’heure de la séparation que l’amour connaît sa propre profondeur.
(Khalil Gibran).
(06)
… Si vous aimez, vous ne dites pas « DIEU est dans mon cœur », mais plutôt « je suis dans le cœur de DIEU ». (Khalil Gibran).
(07)
… aimez-vous l’un l’autre, mais de l’amour ne faites pas des chaîne
Qu’il soit plutôt une mer se mouvant entre les rives de vos âmes
Remplissez vos coupes l’un pour l’autre mais ne buvez pas dans une seule coupe
Donnez-vous du pain l’un à l’autre mais ne mordez pas dans le même morceau
Chantez et dansez ensemble, et soyez joyeux, mais que chacun puisse être seul
COMME SONT SEULES LES CORDES DU LUTH ALORS QU’ELLES VIBRENT D’UNE MÊME MUSIQUE
Donnez vos cœurs, mais pas à la garde l’un de l’autre
Car seule la Vie peut contenir vos cœurs dans sa main
Restez l’un avec l’autre, mais pas trop près l’un de l’autre
Car les piliers du temple sont éloignés entre eux
Et le chêne et le cyprès ne poussent pas dans l’ombre l’un de l’autre. (Khalil Gibran)
(08)
… Et qu’est-ce que la crainte de la misère sinon la misère elle-même ?
La peur de la soif quand votre puits est plein, n’est-ce pas une soif inextinguible ?
Il y a ceux qui ont beaucoup et qui donnent peu, et comme ils en attendent de la reconnaissance, ce désir caché dégrade leurs dons.
Il y a ceux qui ont peu et qui donnent tout.
Ceux-ci ont foi dans la vie et dans la générosité de la vie, et leur offre n’est jamais vide.
Il y a ceux qui donnent avec joie, et cette joie est leur récompense
Et il y a ceux qui donnent avec peine, et cette peine est leur baptême
Et il y a ceux qui donnent sans éprouver de peine à donner, sans y chercher non plus ni joie ni conscience de leur vert
Ils donnent comme là-bas, dans la vallée, le myrte exhale son parfum dans l’air
.C’est par leurs mains que DIEU parle er par leurs yeux qu’il sourit à la terre
Il est bon de donner quand on le demande, mais il est encore mieux de donner par discernement, quand on ne le demande pas
Et pour la main ouverte, chercher celui qui recevra est une plus grande joie que de donner
Et que pourriez-vous refuser ?
Tout ce que vous avez, sera donné un jour.
Donnez donc maintenant, afin que le moment de donner soit le vôtre et non celui de vos héritiers. (Khalil Gibran)
(10)
Vous dites souvent, « Je voudrais donner, mais seulement à ceux qui le méritent ».
Les arbres de votre verger ne parlent pas ainsi, ni les troupeaux de votre pâturage
Ils donnent pour vivre, car refuser serait leur perte
A coup sûr, celui qui a été digne de recevoir ses jours et ses nuits, celui-là est digne de recevoir de vous tout le reste
Et celui qui a mérité de boire à l’océan de la vie mérite de remplir sa coupe à votre petit ruisseau
Et y aurait-il mérite plus grand que celui qui réside dans le courage et l’audace, voire la charité de recevoir ? (Khalil Gibran)
(11)
Et qui êtes-vous pour que des hommes se déchirent la poitrine et dévoilent leur fierté, afin de vous laisser voir leur dignité nue et leur fierté intacte ?
Voyez d’abord si vous-mêmes méritez de donner et d’être l’instrument du don
Car en vérité c’est la vie qui donne à la vie- tandis que vous n’êtes qu’un témoin, qui vous considérez comme un donateur. (Khalil Gibran).
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