Malheur à la nation qui brandit mille et une religion, mais ignore la foi.
(01)MATIERE A REFLEXION

يحي فوزي نشاشبي في الخميس ١٩ - فبراير - ٢٠١٥ ١٢:٠٠ صباحاً

 

 

( 01) MATIERE  A  REFLEXION

(01)

Malheur  à  la  nation  qui  brandit  mille  et  une  religion,  mais  ignore la foi. (Khalil  Gibran).

(02)

Quand  l’Amour vous fais  signe  de  le  suivre, suivez  le…  et  quand  il  parle, croyez  en  lui. (Khalil  Gibran).

(03)

En vérité  la  soif  du  confort tue  l’ardeur  de  l’âme, et suit  alors ses funérailles en ricanant ! mais vous enfants de  l’espace, à la quiétude inquiète, vous ne serez ni pris au  piège, ni domptés, vous ne replierez pas vos  ailes  pour passer par la porte, ni ne  courberez  vos  têtes pour  éviter qu’elles cognent le  plafond, ni ne craindrez de  respirer, par  peur  que  les  murs ne  se  fissurent et  ne s’écroulent.  (Khalil  Gibran).

(04)

Lorsque l’impur ne sera plus,  que  deviendra  la  pudeur, sinon une  entrave  et  une  souillure  de  l’esprit ?  et  n’oubliez  pas que la  terre prend  plaisir  à  sentir  vos  pieds nus  et  que  les  vents  aspirent  à  jouer  avec  vos  cheveux. (Khalil  Gibran).

(05)

… car comme il  en  a  toujours  été,  c’est  seulement à l’heure  de la  séparation que  l’amour  connaît sa  propre  profondeur.

(Khalil  Gibran).

(06)

… Si vous aimez, vous ne dites pas «  DIEU  est dans mon  cœur », mais  plutôt  « je suis dans  le cœur de DIEU ». (Khalil  Gibran).

(07)

… aimez-vous l’un l’autre, mais de l’amour ne faites pas  des chaîne 

Qu’il soit plutôt une mer se  mouvant entre les rives de vos âmes

Remplissez vos coupes l’un pour l’autre mais ne buvez pas dans  une  seule  coupe

Donnez-vous du pain l’un à l’autre mais ne mordez pas dans le  même morceau

Chantez et dansez ensemble, et soyez joyeux, mais que chacun puisse être  seul

COMME SONT SEULES LES CORDES DU LUTH  ALORS QU’ELLES VIBRENT D’UNE  MÊME MUSIQUE

Donnez vos  cœurs, mais pas à la  garde l’un de  l’autre

Car seule la  Vie peut  contenir vos  cœurs  dans sa main

Restez l’un avec l’autre, mais pas trop près l’un de l’autre

Car les piliers du temple sont éloignés entre eux

Et  le  chêne  et  le  cyprès  ne  poussent  pas  dans  l’ombre l’un  de  l’autre. (Khalil  Gibran)

(08)

… Et qu’est-ce que la  crainte de la misère sinon la misère elle-même ?

La peur de la soif quand votre puits est plein, n’est-ce pas une soif inextinguible ?

Il y a ceux qui ont  beaucoup et qui donnent peu, et comme ils en attendent de la reconnaissance, ce désir caché dégrade leurs dons.

Il y a ceux qui ont peu et qui donnent tout.

Ceux-ci ont foi dans la vie et  dans la  générosité de la vie, et leur offre n’est jamais  vide.

Il y a ceux qui donnent avec joie, et cette joie est leur récompense

Et il y a ceux qui donnent avec peine, et cette  peine  est  leur  baptême

Et il y a  ceux qui donnent  sans  éprouver de peine à donner, sans y  chercher non plus ni joie ni conscience  de  leur  vert 

Ils donnent comme là-bas, dans la  vallée, le myrte exhale son parfum  dans l’air

.C’est par leurs mains que DIEU parle er par leurs yeux qu’il sourit à la terre 

(Khalil Gibran).
(09)

Il est bon de donner quand on le demande, mais il est encore mieux de donner par discernement, quand on ne  le  demande pas

Et pour la  main ouverte, chercher celui qui recevra est une plus  grande joie  que  de  donner

Et que  pourriez-vous refuser ?

Tout  ce  que vous avez, sera donné un jour.

Donnez donc maintenant, afin que le moment de donner soit  le  vôtre et  non  celui  de vos  héritiers. (Khalil  Gibran)

(10)

Vous dites souvent, « Je voudrais donner, mais seulement à ceux qui le méritent ».

Les arbres de votre verger ne parlent pas ainsi, ni les troupeaux de  votre  pâturage

Ils donnent pour vivre, car refuser serait leur perte

A coup sûr, celui qui a été digne de recevoir ses jours et ses nuits, celui-là  est  digne  de  recevoir  de  vous  tout le  reste

Et celui qui a  mérité de boire à l’océan de la vie mérite de remplir sa  coupe  à votre petit  ruisseau

Et y aurait-il mérite plus grand que celui qui réside dans le courage  et  l’audace, voire  la  charité de  recevoir ? (Khalil  Gibran)

(11)

Et qui êtes-vous pour que des hommes se déchirent la poitrine et dévoilent leur  fierté, afin de vous laisser voir  leur dignité nue et leur fierté intacte ?

Voyez d’abord si vous-mêmes  méritez de donner et  d’être  l’instrument  du don

Car  en  vérité  c’est  la  vie  qui donne à la vie-  tandis que vous n’êtes qu’un témoin, qui vous considérez comme un donateur. (Khalil  Gibran).

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